jueves, julio 16, 2009

Opera

Premier acte

Je suis dans ma chambre et de coup quelqu’un me tape la porte. Ce qui ? Je demande. Personne, dit-elle une voix de l’autre coté. Comment personne ? Dis-je en me levant de ma chaise. Est-ce que y a-t-il personne capable de faire bruit à cette heure de la nuit ? Quelle heure il est ? Demanda-je. Et la voix de l’autre coté de la porte me réponds : il est sept heure. A cette heure de la nuit et je me mets a parler avec n’importe qui. Et alors, qu’est-ce que vous voudrais à cette heure de la nuit ? demanda-je. Rien, réponds la voix. Ok, dis-je, et alors je me trouve que c’est mon frère qui me parle de l’autre coté de la porte. Alors je me trouve dans un voyage à l’intérieur de mon cœur, à une réalité parallèle et, pourtant, réelle, de tell façon que la réalité réelle devient la parallèle. Tell voyages sont toujours possibles dans ce type de comptines, et en plus il sont toujours accompagnés pour une angoisse primitive et, donc, la meilleure. On choisi toujours le sentiment qui accompagnera le voyage d’un continent à autre, et l’angoisse est une option possible. Mais on peut trouver une multiplicité de sentiments à choisir, et ce la mort qui doit prendre la décision.

C’est fini